Critique | Musique

Beady Eye – Different Gear, Still Speeding

Beady Eye, Different Gear, Still Speeding, distribué par PIAS, 3/5.

Le concert à l’AB le 22 mars est complet.

ROCK | Dès le premier titre pétaradant, l’intention est claire, Oasis c’est fini: « Nothing lasts forever » chante Liam avec conviction. Les 13 chansons boostées par la production radiophonique de Steve Lillywhite (The La’s, U2, The Smiths) créent une puissante sonorité cristalline, quelque part entre l’éternel fantasme Carnaby Street (Millionaire), les relents lennonesques (The Roller) et un meeting de piano maniaque à la Jerry Lee Lewis et les choeurs angéliques de T. Rex (Bring The Light). Les guitares, très présentes, sont riches en électricité (Standing On The Edge Of Noise), mais c’est lorsque le tempo se dégraisse que Beady Eye lâche ses 2 meilleures compositions: le final de The Beat Goes On et The Morning Son, intensément mélancoliques, option Liam gros sentimental.

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PH.C.

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