ROCK’N’ROLL | Depuis son 1er album sorti il y a 27 ans, Isaak n’a cessé de réincarner l’univers rétro-rock des années 50-60 énamouré d’Elvis et de Roy Orbison.
Chris Isaak, Beyond the Sun, distribué par Warner. **
ROCK’N’ROLL | Depuis son 1er album sorti il y a 27 ans, Isaak n’a cessé de réincarner l’univers rétro-rock des années 50-60 énamouré d’Elvis et de Roy Orbison. Logiquement, il livre aujourd’hui un disque roots enregistré là où tout a commencé, aux Sun Studios de Memphis. De sa voix cajoleuse de baryton, le surfeur-boxeur révélé par l’inclusion de sa musique dans le Blue Velvet de David Lynch, reprend donc les classiques patinés de Presley (It’s Now Or Never, Can’t Help Falling In Love), Johnny Cash (I Walk The Line, Ring Of Fire), Orbison (Oh Pretty Woman) et d’autres, plus un original du même ton (Live It Up). C’est bien chanté, bien joué et indéniablement bien senti, mais le résultat reste (forcément?) en deçà de la magie karmique des originaux. CQFD.
Ph.C.
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