Critique | Musique

Stereo MCs – Emporor’s Nightingale

POP | Il faut bien l’avouer, quasi 20 ans après les faits, les Stereo MCs restent encore et toujours le groupe d’un album. Un disque, Connected (1992), dont le succès et l’impact ont été compliqués à digérer: il a fallu près de 10 ans pour lui donner une suite.

POP | Il faut bien l’avouer, quasi 20 ans après les faits, les Stereo MCs restent encore et toujours le groupe d’un album. Un disque, Connected (1992), dont le succès et l’impact ont été compliqués à digérer: il a fallu près de 10 ans pour lui donner une suite. Aujourd’hui, le duo de quinquas sort son 7e album, qui fera difficilement la une de l’actu musicale. On y retrouve pourtant les Stereo MCs libérés, presque surprenants, le plus frappant étant le chant de Rob Birch, préféré à l’habituel phrasé rap. Bien sûr, le beat élastique caractéristique n’est jamais très loin (Bring It On), mais il y a une fraîcheur retrouvée, un enthousiasme qui fait plaisir à entendre. Cela ne suffit pas -les Anglais frôlent à plusieurs reprises l’anodin (Manner). Mais pour une fois que le coup de la « maturité libératrice » n’est pas qu’un discours promo…

L.H.

Stereo MCs, Emporor’s Nightingale, distribué par K7/PIAS. **

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