Despicable Me, l’âge de synthèse

© DR

Presque trois mois après les Etats-Unis, nous arrive « Despicable Me », le premier film d’animation en images de synthèse produit par Universal.

Gru est un super-vilain à l’ancienne, du style qui veut conquérir le monde depuis son fauteuil en caressant un chat blanc. Sauf que Gru vit dans une petite maison de banlieue, que son chat blanc est un chien noir génétiquement modifié et qu’aucun agent secret ne se met en travers de sa route.

Pour réaliser son rêve de voler la lune (c’est possible), Gru va devoir se coltiner trois orphelines vendeuses de cookies à qui il veut faire infiltrer le repère de son adversaire (le vrai méchant dans l’affaire). Drôles, attachantes, mordantes, émouvantes, elles sont le sel du film! Comme on s’en doutait, à leur contact, Gru se révèle plus un vilain garnement qu’un vrai méchant, mais son chemin est semé d’embuches assez tirées par les cheveux pour ne pas voir le temps passer.

C’est coloré, vif, et ça va dans tous les sens puisque c’est en 3D. Un spectacle qui ravira les enfants et ne fera pas regretter à leurs parents de les avoir accompagnés!

Despicable Me, film d’animation de Chris Renaud et Pierre Coffin, avec les voix de Steve Carrel, Jason Segel, Russel Brand. 1h35.

L’affichage de ce contenu a été bloqué pour respecter vos choix en matière de cookies. Cliquez ici pour régler vos préférences en matière de cookies et afficher le contenu.
Vous pouvez modifier vos choix à tout moment en cliquant sur « Paramètres des cookies » en bas du site.

M.R.

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Partner Content