Critique

The Iceman

Jean-François Pluijgers
Jean-François Pluijgers Journaliste cinéma

POLAR | Polar américain vintage, The Iceman s’inspire de la vie de Richard Kuklinski, un homme ayant longtemps mené une double existence: père de famille modèle côté face; tueur implacable côté pile -pas besoin d’aller chercher bien loin l’origine de son surnom.

Sur ses pas, et à compter du milieu des années 60, lorsqu’il est recruté par la mafia après avoir bossé dans l’industrie du porno, Ariel Vromen signe un film noir tendu. Sans atteindre à la puissance vénéneuse des classiques du genre, The Iceman n’en décline pas moins les figures imposées avec une appréciable constance, s’appuyant sur une mise en scène stylisée et une interprétation solide. Michael Shannon trouve ici un rôle (de plus) à son inquiétante mesure, et on ne boude pas son plaisir devant le retour de Winona Ryder, parfaite dans le rôle de l’épouse n’ayant rien vu venir -elle à qui Kuklinski disait qu’elle était « une version plus belle de Natalie Wood », il est vrai…

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DE ARIEL VROMEN. AVEC MICHAEL SHANNON, WINONA RYDER, JAMES FRANCO. 1 H 45. SORTIE: 05/06.

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