Critique

Noordzee, Texas

DRAME | Surfant sur la vague de cinéma flamand qui déferle depuis quelques mois sur les écrans, Noordzee, Texas s’inscrit quelque part au confluent de Moskow, Belgium, qu’il évoque par son titre, et de La Merditude des choses, qu’il rappelle -timidement- par son ancrage social.

Soit, dans un bled de la côte belge à la fin des années 60, le destin de Pim, gamin solitaire négligé par sa mère accordéoniste de village, et rêvant d’un avenir meilleur aux côtés de Gino, son ami d’enfance. Et un premier film fauché (le parc de voitures de la ville doit bien compter 3 véhicules) en forme de récit d’apprentissage contrarié qui, s’il trouve, par endroits, des arguments esthétiques séduisants, n’en est pas moins aussi sûrement miné par les nombreux bégaiements du scénario et une couleur locale plus décorative que réellement signifiante.

Noordzee, Texas, drame de Bavo Defurne. Avec Jelle Florizoone, Eva Van Der Gucht, Thomas Coumans. 1h36. Sortie: 16/03. **

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J.F. Pl.

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