Critique | Musique

Two Gallants – The Bloom and the Blight

Philippe Cornet
Philippe Cornet Journaliste musique

ROCK | Marrant de penser que ce duo formé à San Francisco il y a une dizaine d’années déjà a porté un bout de temps l’étiquette folk-rock.

Two Gallants, The Bloom and the Blight, distribué par Pias. ***

ROCK | Marrant de penser que ce duo formé à San Francisco il y a une dizaine d’années déjà a porté un bout de temps l’étiquette folk-rock. Sur ce quatrième album, il conserve bien quelque chose de pastoral -la voix éraillée, le sens des ballades, l’harmonica- mais son quota folk est, littéralement, atomisé par une guitare électrique déboulant en énorme boucan ravageur et maniaque, comme si l’ingé son s’était grossièrement trompé dans le réglage des volumes. Cette soudaine violence surprend au premier morceau (Halcyon Days) puis compose avec le sens de la dramatisation et une paire de titres détonants (Broken Eyes, Ride Away, Decay) pour une fusion finale rafraîchissante.

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