Critique | Musique

Sean Rowe – The Salesman and the Shark

Philippe Cornet
Philippe Cornet Journaliste musique

AMERICANA | Troisième album pour ce barbu (1975) de l’Etat de New York qui s’intéresse à la nature et à la survie en milieu hostile.

SEAN ROWE, THE SALESMAN AND THE SHARK, DISTRIBUÉ PAR PIAS. ***

AMERICANA | Troisième album pour ce barbu (1975) de l’Etat de New York qui s’intéresse à la nature et à la survie en milieu hostile, complétant même en 2006 un séjour solo de 24 jours dans les forêts de l’est des Etats-Unis. Rowe ramène son sens de la combativité -et une forte présence vocale- dans ses chansons partagées entre folk crépusculaire (Sings) et moments plus charnus proches de Nick Cave (Horses). Produit par Woody Jackson -qui a travaillé avec Daniel Johnston-, le disque a différentes épaisseurs, n’hésitant pas à s’immerger dans les voluptés gospel (Bring Back The Night) ou, pour le meilleur titre, à évoquer le fantôme d’Elvis/Johnny Cash croonant sur un slow de fin du monde (The Lonely Gaze) . A débusquer pour l’hiver.

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