Festival de Cannes – Jour 3: La revanche d’une Blonde

Le croiriez-vous? La star dont l’on parle, ces jours-ci sur la Croisette, c’est Marilyn…

Le croiriez-vous? La star dont l’on parle, ces jours-ci sur la Croisette, c’est Marilyn. Présente en librairie par souvenirs de Tony Curtis interposés -Certains l’aiment chaud et Marilyn-, Miss Monroe s’est également invitée dans nombre de conversations. Cela, à la faveur d’une info parue dans le magazine professionnel Screen International, faisant état de la prochaine adaptation à l’écran de Blonde, l’épatante biographie imaginaire que lui consacrait, il y a quelques années, Joyce Carol Oates. Derrière la caméra, Andrew Dominik, le réalisateur de The Assassination of Jesse James; et pour vamper Norma Jean, Naomi Watts -incarnation plus vraie que nature de l’icône féminine du 20e siècle, si l’on en croit la photo publiée pour la circonstance. De Bus Stop à Mulholland Drive et retour, en somme…

Au vrai, si Diamonds are a girl’s best friend, ils sont aussi éternels. La scène finale de The Housemaid, film du Coréen Im Sangsoo présenté en compétition, n’est autre qu’une citation éminemment troublante du Happy Birthday lascivement susurré par Marilyn à JFK sur la scène du Madison Square Garden, en 1962. La revanche d’une Blonde?

Jean-François Pluijgers

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