Critique | Musique

Dan Deacon – America

Julien Broquet
Julien Broquet Journaliste musique et télé

ELECTRONIQUE | Après avoir signé la B.O. du Twixt de Coppola et la musique d’une performance de danse théâtre surréaliste qui recrée des univers de jeux vidéo, puis fait danser 10 000 gugusses à Union Square contre les abus du capitalisme financier, l’infatigable Dan Deacon déballe son nouvel album.

DAN DEACON , « AMERICA » , DISTRIBUÉ PAR DOMINO. ***

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ELECTRONIQUE | Le chanteur et bidouilleur cinglé de Baltimore, qui a fréquenté le conservatoire, fait des études d’électro acoustique et de « computer music composition » (ça ne s’invente pas), est un peu le Brian Wilson du dancefloor. A la fois sombre et lumineux, âpre et beau, mélodique et bruitiste, America est le genre de disque pour lever les bras en l’air dans une cave moite à 5 heures du mat. Trépidant et extatique. (J.B.)


LE 24/09 AU BOTANIQUE (ROTONDE).

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