Critique | Musique

Pete and the Pirates – One Thousand Pictures

ROCK | The Guardian a comparé l’écriture du chanteur/guitariste Peter Hefferan à celle de Ray Davies des Kinks, pour sa façon de scruter la société anglaise et d’en livrer des portraits tout humides d’intimité albione.

ROCK | The Guardian a comparé l’écriture du chanteur/guitariste Peter Hefferan à celle de Ray Davies des Kinks, pour sa façon de scruter la société anglaise et d’en livrer des portraits tout humides d’intimité albione. C’est particulièrement vrai pour des titres comme Cold Black Kitty ou Washing Powder, le meilleur moment du disque. Mais plutôt que d’épouser les vieux refrains mods du vinaigre sixties, Pete et ses copains empruntent une forme de new wave régénérée, avec le côté dark de ces années-là qui fait aussi penser à The Cure quand il « tuait les arabes »… (Blood Gets Thin). Un côté fresh comme dirait l’autre. Et agréablement collant.

Ph.C.

Pete and the Pirates, One Thousand Pictures, distribué par Bertus. ***

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