Une histoire des Rolling Stones en 50 faits marquants

Les Rolling Stones (Ron Wood - Mick Jagger - Keith Richards), ici à Werchter en 2007. © Belga/Benoît Doppagne

Les Rolling Stones fêtent le cinquantième anniversaire de leur premier concert, le 12 juillet 1962, sur la scène du Marquee Club à Londres. Voici 50 informations indispensables ou anecdotiques sur le plus grand et le plus vieux groupe de rock’n’roll du monde.

1. RENCONTRE. 1961. Un adolescent attend le train à la gare de Dartford, un disque de Chuck Berry à la main. Un ancien camarade de l’école primaire s’approche. Sous le bras il trimballe Rockin’ at the Hops de Chuck Berry, un Best Of de Muddy Waters et un album de Little Walter, introuvables en Grande-Bretagne. Le premier s’appelle Keith Richards, le second se nomme encore Michael Philip Jagger. Un an plus tard, ils formeront l’un des plus grands groupes de rock du monde. The Rolling Stones sont nés sur le quai de la gare de Dartford, dans le nord-ouest du Kent, à 25 km du centre de Londres.

2. GROUPE. En 1961, Mick Jagger -qui se fait encore appeler Mike-, Keith Richards et son camarade de classe au Sidcup Art College, Dick Taylor, donnent naissance aux Little Boy Blue & the Blue Boys. Dick Taylor formera en 1963 The Pretty Things.

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3. BRIAN JONES (1). Début 1962, Mick Jagger découvre sur la scène d’un club de l’ouest de Londres un magicien du bottleneck, capable d’exécuter Dust My Broom d’Elmore James à la perfection. Le chanteur est impressionné par le garçon qui se fait appeler Elmo Lewis. Mick Jagger vient de rencontrer Brian Jones.

4. ORIGINES. La musique des Rolling Stones prend ses racines dans le blues. Héritiers blancs de Muddy Waters, Chuck Berry, Bo Diddley et compagnie, ils sont à l’origine de la renaissance du rock’n’roll dans les années 1960.

5. LE NOM. Brian Jones décide de baptiser le groupe Rollin’ Stones en hommage à la chanson éponyme du bluesman de Chicago Muddy Waters. Avec l’arrivée du manager Andrew Loog Oldham, le groupe devient The Rolling Stones.

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6. LE CONCERT. Les « Pierres qui roulent », composés de Brian Jones, Mick Jagger, Keith Richards, Ian Stewart au piano, Dick Taylor à la basse et Mick Avory à la batterie, montent sur scène pour la première fois le 12 juillet 1962 au Marquee Club de Londres. Cinquante ans plus tard, le 165, Oxford Street est occupé par une banque. Faut-il y voir un symbole?

7. RATAGE. Il aura beau avoir signé sur la maison de disques Decca les Rolling Stones, Them (Van Morrison), The Moody Blues, The Animals ou encore The Zombies, Dick Rowe (1921-1986), est pour l’éternité « l’homme qui a raté les Beatles ». L’audition des garçons de Liverpool par Decca le 1er janvier 1962 ne l’avait alors pas convaincu. Pour la petite histoire, c’est George Harrison qui aurait recommandé à Dick Rowe de jeter une oreille sur les Rolling Stones.

8. BEATLES. Le deuxième 45 tours des Rolling Stones, I Wanna Be Your Man, est une composition inédite écrite par… John Lennon et Paul McCartney (le premier, Come On, sorti le 7 juin 1963, était une reprise de Chuck Berry). Le manager Andrew Loog Oldham fait en sorte de présenter les Stones comme des anti-Beatles, capitalisant sur leur image de « mauvais garçons » (« Laisseriez-vous votre fille sortir avec un Rolling Stone? » titrera le Melody Maker). Bien que concurrents, les musiciens des deux groupes étaient avant tout des amis.

9. LONDRES. En 1962, Mick, Keith et Brian partagent au 102, Edith Grove, dans le quartier de Chelsea, un appartement sordide et vivent dans des conditions d’hygiène lamentables.

10. COMPOSITION. La toute première chanson écrite par Mick Jagger et Keith Richards, That Girl Belongs To Yesterday, a été offerte au chanteur américain Gene Pitney. Elle devient un tube en 1964.

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11. MICK JAGGER. Michael Philip Jagger est né le 26 juillet 1943 à Dartford. Malin, discipliné, endurant, arrogant, extravagant, charismatique, sexy, décadent, rebelle, vorace, ambitieux, volage, narcissique… Le leader des Stones est tout ça et bien plus encore. L’une des grandes icônes rock.

12. KEITH RICHARDS. Fils unique, il est né dans le même hôpital que son alter-ego Mick Jagger, à 145 jours d’intervalle, le 18 décembre 1943. C’est son grand-père, « Gus » qui lui met une guitare entre les mains. La vie chez les Richards est moins rose que chez les Jagger. Un monde sépare les deux familles. Les deux garçons ont en commun leur passion pour le blues et le rock’n’roll. Avec la découverte de l’accordage en open-tuning, Keith Richards devient le génial tailleur de riffs du rock (Honky Tonk Women, Brown Sugar, Jumpin’ Jack Flash, Start Me Up, etc.)

13. CHARLIE WATTS. Ce passionné de jazz est sans doute le batteur le plus flegmatique de l’histoire du rock’n’roll. Toujours tiré à quatre épingles, Watts est l’un des Stones les plus apprécié par le public. Ancien graphiste, il participe activement aux choix des décors scéniques.

14. BILL WYMAN. Parce qu’il avait un bon ampli, il devient le bassiste des Stones à partir de 1962. Dans son autobiographie, Stone Alone, il explique avoir trouvé le riff de Jumpin’ Jack Flash. Mais la chanson fut créditée Jagger/Richards. Contrairement à ses camarades, Bill Wyman n’était pas un gros consommateur de drogues. En revanche, comme Mick Jagger, il avait un gros appétit sexuel. Remplacé par Darryl Jones après son départ en 1993, le bassiste a ouvert un restaurant à Londres: le Sticky Fingers Café.

15. IAN STEWART (1938-1985). Cet Ecossais prognathe joue du piano dans la première mouture des Rolling Stones. Il est écarté du groupe par le manager Andrew Loog Oldham parce qu’il n’a pas le bon look. « Stu » devient ensuite le road manager et continue à jouer sur les albums des Stones. Il sera intronisé avec les Rolling Stones au Rock’n’Roll Hall of Fame en 1989.

16. SATISFACTION (1). Un riff, une légende. La mélodie de (I Can’t Get No) Satisfaction serait venue à Keith Richards en rêve en mai 1965. Il sort du lit, attrape sa guitare, enregistre le riff avant de se rendormir. Le lendemain matin, le guitariste se réveille sans aucun souvenir mais il aperçoit son magnétophone: « J’ai rembobiné la bande, et c’est que j’ai découvert Satisfaction, raconte Keith dans sa biographie Life. Suivie de quarante minutes de ronflement. » En 2003, cette chanson a été classée deuxième plus grande chanson de tous les temps par le magazine Rolling Stone.

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17. MARIANNE FAITHFULL. Mick Jagger et Keith Richards écrivent pour elle l’une de leurs premières chansons, As Tears Go By (1964). Elle a 17 ans. Sa beauté angélique séduira Mick Jagger. Séparée de Mick en 1970, la chanteuse à l’aura sulfureuse s’enfoncera dans l’héroïne et la dépression. Aujourd’hui, elle partage sa carrière entre le cinéma et la musique.

18. SATISFACTION (2). En 1965, Otis Redding met le feu avec sa reprise de (I Can’t Get No) Satisfaction. Un prêté pour un rendu. Sur l’album The Rolling Stones N°2, sorti en 1965, les Anglais chantaient Pain In My Heart, popularisé l’année précédente par le soulman originaire de Macon, Georgie.

19. CINEMA (1). En 1968, Jean-Luc Godard filme en studio la naissance du morceau Sympathy for the Devil. One + One alterne scènes de répétitions et séquences sur le climat politique de l’époque. Godard sera très en colère contre le remontage du film organisé par ses producteurs et rebaptisé Sympathy for the Devil.

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20. BOULGAKOV. Les paroles de la chanson Sympathy for the Devil ont été inspiré à Mick Jagger en partie par Le Maître et Marguerite, un roman de l’écrivain soviétique Mikhaïl Boulgakov.

21. ANITA PALLENBERG. Elle est surtout connue pour avoir été la maîtresse de trois Stones. Le tiercé dans l’ordre: Brian Jones, Keith Richards (avec lequel elle a eu trois enfants) et Mick Jagger. Sa liaison avec le chanteur sur le tournage du film Performance, sera vécue comme une cruelle trahison par Keith Richards. Entre les deux hommes, « la blessure ne se refermera jamais », confie le guitariste.

22. BRIAN JONES (2). Le fondateur du groupe fait sa dernière apparition sur un morceau des Rolling Stones avec No Expectations, paru sur Beggars’ Banquet (1968). Alcoolique et accro aux drogues, il est incapable de participer aux tournées. En juin 1969, il est écarté du groupe. Le 3 juillet 1969, le jour de la sortie de Honky Tonk Woman, il est retrouvé mort noyé dans sa piscine. Il avait 27 ans. C’est la thèse officielle. Une autre théorie agite la presse anglo-saxonne depuis des années. Le musicien aurait été assassiné par un entrepreneur de BTP, Frank Thorogood, lequel était en train de retaper le vaste domaine du musicien au moment des faits. Une chose est sûre. Brian Jones est le « membre fondateur » du Club des 27, ces stars du rock décédées à l’âge de 27 ans (Janis Joplin, Jimi Hendrix, Jim Morisson, Kurt Cobain). A ses obsèques seuls étaient présents Bill Wyman et Charlie Watts.

23. ALTAMONT. L’année 1969 se termine par un drame. Lors d’un festival de musique gratuit organisé par les Rolling Stones sur le circuit automobile d’Altamont, près de San Francisco, l’un des Hell’s Angels qui assurent le service d’ordre poignarde à mort Meredith Hunter en plein concert du groupe. Le motard prétendra avoir vu l’adolescent noir sortir un révolver. A la fin du festival, on recense quatre morts. La boucherie d’Altamont, raconté par Stanley Boothe dans son livre Dance with the Devil (Flammarion), est considéré comme le symbole de la fin du rêve hippie et d’une époque.

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24. ALBUMS. Les Rolling Stones ont sorti 22 albums studios au Royaume-Uni et vendu plus de 200 millions de disques. La meilleure période du groupe se situe entre 1968 et 1974, entre les albums Beggars Banquet et It’s Only Rock’n’Roll.

25. DROGUES. Que Keith Richards, malgré tout ce qu’il s’est enfilé dans le nez et injecté dans les veines, tienne toujours debout relève du miracle. Le rapport des Rolling Stones avec la drogue mériterait une encyclopédie. A la lettre A, pourrait figurer l’arrestation en 1967 de Keith Richards et Mick Jagger qui a bien failli mettre un terme à la carrière du groupe. Les Rolling Stones ont régulièrement été associés à des affaires de consommation de drogues. Même le discret Charlie Watts prenait de l’héroïne dans les années 1970. C’est grâce à l’intervention de Keith Richards que le batteur a décroché. Un comble.

26. POCHETTE. C’est Andy Warhol qui a imaginé la pochette de Sticky Fingers avec son haut de jean et sa légendaire braguette incorporée. L’artiste new-yorkais restera très proche de Mick Jagger.

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27. PIRATES. Pour le personnage du capitaine Jack Sparrow, dans Pirates des Caraïbes, Johnny Depp s’est inspiré de la dégaine de son ami Keith Richards. Le guitariste joue d’ailleurs le père du pirate dans le troisième volet de la saga.

28. CINEMA (2). Martin Scorsese est sans doute le cinéaste qui a le plus puisé dans le répertoire des Stones pour illustrer la bande sonore de ses films. On retrouve ainsi Gimme Shelter dans la trilogie sanglante Les Affranchis, Casino et The Departed. Une collaboration entre ces deux monstres sacrés du cinéma et de la musique était donc inéluctable. Elle prend la forme en 2008 d’un concert filmé, Shine a Light.

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29. PODIUM. Avec un peu plus de 4,6 millions de spectateurs au cours de 144 prestations, le « Bigger Band Tour » (2005/2007) a totalisé un demi-million de dollars de bénéfices. C’est la deuxième tournée la plus lucrative de l’histoire derrière U2 et les 720 millions de son « 360° Tour » en 2011.

30. MICK TAYLOR. Embauché pour remplacer Brian Jones, le guitariste fait sa première apparition avec les Stones le 5 juillet 1969 lors du concert à Hyde Park. Il participe à sept albums avant de quitter le groupe le 12 décembre 1974 (Ron Wood prend sa place). Très bon soliste, Mick Taylor laisse sa marque sur de nombreux titres d’Exile on Main Street, dont Ventilator Blues.

31. COCKSUCKER BLUES. En fin de contrat avec leur maison de disques, les Rolling Stones ont composé ce titre (signifiant littéralement le Blues du suceur de queues) avec l’intention délibérée d’offenser la direction de Decca. Jugée trop scandaleuse, la chanson sera mise au placard et donnera son nom au documentaire du cinéaste Robert Frank consacrée à la tournée de 1972. Le film, avec ses séquences de débauche (mis en scène pour certaines par Frank) connaîtra le même destin que la chanson éponyme.

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32. NELLCOTE. C’est à Villefranche-sur-Mer, dans le sud de la France, dans la villa Nellcote louée par Keith Richards que les Rolling Stones ont débuté l’enregistrement en 1971 d’Exile on Main Street.

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33. CINEMA (3). Mick Jagger a débuté le tournage du film Fitzcarraldo de Werner Herzog au côté de Jason Robards, qui endosse le rôle principal. Malade, ce dernier a dû abandonner la production. Le tournage reprit avec Klaus Kinski, mais Jagger ne put tenir son engagement pour cause de tournée des Rolling Stones.

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34. SOLO. Mick Jagger a sorti quatre albums solo: She’s the Boss (1985), Primitive Cool (1987), Wandering Spirit (1993), Goddess in the Doorway (2001). Il n’a jamais rencontré le grand succès. De son côté, Keith Richards a publié deux albums avec ses X-pensive Winos: Talk Is Cheap (1988) et Main Offender (1992).

35. MUSICIENS. Au cours de leur carrière, les Rolling Stones ont travaillé avec de nombreux musiciens de studios. Certains les accompagnant aussi sur scène. Parmi les plus important, on peut citer les pianistes Nicky Hopkins, Ian Stewart et Billy Preston et le saxophoniste Bobby Keys.

36. FEMMES. On prête à Mick Jagger près de 4000 conquêtes dont Carla Bruni, Uma Thurman, Angelina Jolie…

37. LANGUE. Pour leurs 50 ans, les Rolling Stones ont demandé au graphique Shepard Fairey, célèbre pour son portrait d’Obama lors de la campagne électorale américaine de 2008, de redessiner The Tongue, le logo lippu du groupe. L’image de la bouche et de la langue avait été conçue par John Pasche en 1970 pour l’album Sticky Fingers.

38. MAISON. Mick Jagger possède le château de Fourchette à Pocé-sur-Cisse (Indre-et-Loire), une demeure du 18e sicèle.

39. HELL’S ANGELS. Les Rolling Stones feront appel deux fois aux motards pour assurer la sécurité de leurs concerts, en juillet 1969, à Londres, à Hyde Park, puis en décembre lors du funeste festival d’Altamont. Les motards nourriront une profonde rancoeur vis-à-vis de Mick Jagger qui avait rendu les Hell’s Angels responsable de ce désastre. On apprendra plus tard grâce au FBI, que les motards avaient lancé une « expédition assassine » qui consistait à s’introduire par bateau dans la demeure de Jagger à Long Island. La tentative de meurtre fit un flop. Une voie d’eau coulant leur embarcation.

40. SURNOM. A partir de 1974, et l’album It’s Only Rock’n’Roll, la doublette Jagger/Richards prend le surnom de Glimmer Twins (les jumeaux étincelants).

41. HOMOSEXUALITE. David Bowie, Eric Clapton, Brian Jones, Rudolph Noureev… Dans son livre, Mick (JC Lattès), le journaliste Christophe Andersen prête au chanteur de nombreuses relations homosexuelles.

42. RON WOOD. Ancien bassiste du Jeff Beck Group et ex-guitariste des Faces, il a rejoint les Stones en 1975 après le départ de Mick Taylor.

43. DISCO. Les Rolling Stones s’adaptent à la mode. Sorti en mai 1978, Miss You et son rythme four-to-the-floor très disco a atteint la tête des classements.

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42. PANTHEON. Les Stones ont été classés numéro 4 dans la liste des 100 plus grands artistes de tous les temps du magazine Rolling Stone.

45. PUB. Tube d’août 1981, publié sur l’album Tattoo You, Start Me Up a été utilisé en 1995 pour la pub de Windows 95 et son bouton Start (Démarrer). Le riff apparaît aussi en 2012 dans la campagne télévisée de l’horloger Omega.

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46. CHEVALIER. Mick Jagger a été adoubé chevalier par le prince Charles, le 12 décembre 2003. Si vous le croisez dans la rue, pensez à l’appeler Sir Michael Philip Jagger.

47. SUPERBOWL. En 2006, les Rolling Stones ont donné à Detroit un mini-concert à la mi-temps de la finale du championnat de football américain devant des millions de téléspectateurs. Deux mots jugés trop vulgaires de Start Me Up et Rough Justice: « come » (jouir) et « cock » (phallus) ont été censurés par la télé américaine.

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48. VIE. En 2010, Keith Richards a publié son autobiographie, intitulée Life (ed. Robert Laffont). Il reproche notamment à Mick Jagger d’avoir été anobli par la reine Elizabeth, ce qui a ravivé quelques tensions. « Parfois je me dis ‘Mon ami me manque’. Je me demande ‘Où est-il passé?’« , écrit le guitariste, qui surnomme le chanteur « Votre Majesté » ou « Brenda ».

49. JO. Les Rolling Stones ne participeront pas à la cérémonie d’ouverture, le 27 juillet. « Nous ne jouons pas pour les JO mais j’ai hâte de regarder les Jeux comme tout le monde! », a tweeté Mick Jagger.

50. AVENIR. Les rumeurs évoquent un album et une tournée en 2013 (ce qui correspondra au 50 ans du groupe dans sa formation définitive avec Charlie Watts). En attendant, les fans devront se contenter d’un documentaire réalisé par Brett Morgen, retraçant l’histoire du groupe depuis sa création en 1962 à nos jours. Sortie prévue en septembre.

Julien Bordier (L’Express)

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