Critique | Musique

Ty Segall – Goodbye Bread

ROCK | Comme John Dwyer (Thee Oh Sees) et Erik Ripley Johnson (Wooden Shjips), Ty Segall est de ces musicos hyperactifs, insomniaques et polygames qui épousent la destinée d’une tripotée de groupes défendant ardemment la cause rock’n’roll.

ROCK | Comme John Dwyer (Thee Oh Sees) et Erik Ripley Johnson (Wooden Shjips), Ty Segall est de ces musicos hyperactifs, insomniaques et polygames qui épousent la destinée d’une tripotée de groupes défendant ardemment la cause rock’n’roll. Membre d’Epsilons, des Traditional Fools, de Party Fowl et autres Perverts, le mec d’Orange County balance avec Goodbye Bread son 5e album « solo » en 3 ans. Une plongée psyché garage lo-fi yeah baby dans les années 60 à travers 10 titres pas toujours excités mais constamment drogués. Que ceux qui ont faim aient du pain…

J.B.

Ty Segall, Goodbye Bread, distribué par Drag City, ****

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