Critique | Musique

Trin Tran – Dark Radar

Julien Broquet
Julien Broquet Journaliste musique et télé

POST PUNK | C’est la première sortie de God?, label lancé par Ty Segall en collaboration avec Drag City, et on peut dire que le Californien fait avec Trin Tran dans le dérangé du ciboulot.

Trin Tran, Dark Radar, distribué par God?/Drag City/V2. ***

POST PUNK | C’est la première sortie de God?, label lancé par Ty Segall en collaboration avec Drag City, et on peut dire que le Californien fait avec Trin Tran dans le dérangé du ciboulot. Sorti de l’imagination de Steve Coombs, un mec de Madison inconnu au bataillon, Trin Tran est un one-man band disco post punk. Une espèce de croisement entre Bob Log et Devo joué par un mec bien secoué à l’aide d’une guitare, d’une batterie et de claviers. Enregistré en 2002 et 2003 et uniquement vendu jusqu’ici sur des CDR à la fin de ses concerts, Dark Radar est un fameux bordel. Dix-sept minutes seulement pour 13 morceaux rock’n’roll et cracras robotiquement modifiés. Thank God?!

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