Critique | Musique

The Walkmen – Heaven

POP | Né sur les cendres de Jonathan Fire Eater, précurseur de l’explosion new-yorkaise emmenée par les Strokes au début des années 2000, les Walkmen sortent leur septième album en dix ans mais restent terrés dans un déplorable anonymat.

THE WALKMEN, HEAVEN, DISTRIBUÉ PAR BELLA UNION/V2. **

POP | Né sur les cendres de Jonathan Fire Eater, précurseur de l’explosion new-yorkaise emmenée par les Strokes au début des années 2000, les Walkmen sortent leur septième album en dix ans mais restent terrés dans un déplorable anonymat. Heaven pourrait les en sortir mais n’est définitivement pas leur disque le plus excitant. Produite par Phil Ek, acclamé pour son travail avec les Fleet Foxes (Robin Pecknold chante d’ailleurs des harmonies sur deux titres), la galette a un petit goût de Strokes (The Love You Love, Song for Leigh), des Cold War Kids (Love Is Luck). On jurerait même entendre Julian Casablancas chanter sur le folk dépouillé We Can’t Be Beat et Alex Turner donner de la voix sur The Witch… La bande à Hamilton Leithauser a malheureusement abandonné la tension à laquelle elle nous avait habitués. Bof bof.

J.B.

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