Critique | Musique

Opossom – Electric Hawaii

Julien Broquet
Julien Broquet Journaliste musique et télé

POP | Le Néo-Zélandais Kody Nielson dévoile en solo chez Fire Records le premier essai d’Opossom, condensé de pop néo psychédélique ensoleillée.

OPOSSOM, ELECTRIC HAWAII, DISTRIBUÉ PAR FIRE RECORDS/KONKURRENT. ***

POP | Tandis que son frangin Ruban s’apprête à sortir le deuxième album, II, d’Unknown Mortal Orchestra, qu’il accompagna soit dit en passant occasionnellement en tournée, le Néo-Zélandais Kody Nielson (ex-The Mint Chicks) dévoile en solo chez Fire Records le premier essai d’Opossom (rien à voir avec les pénibles rockeurs belges qui mettent un « u » à la place du troisième « o »). Tout au long d’Electric Hawaii, condensé de pop néo psychédélique ensoleillée, Opossom joue dans le sable avec les Beach Boys comme ses compatriotes de The Chills et des Ruby Suns. Les Flaming Lips et MGMT pataugent dans les parages. Animal Collective prépare le feu de camp. Who loves the sun?

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