Critique | Musique

Nicolas Repac – Black Box

Philippe Cornet
Philippe Cornet Journaliste musique

BLUES | Impressionnant disque que ce quatrième album d’un guitariste français ayant consumé ses cordes chez Arthur H.

NICOLAS REPAC, BLACK BOX, DISTRIBUÉ PAR PIAS. ****

BLUES | Impressionnant disque que ce quatrième album d’un guitariste français ayant consumé ses cordes chez Arthur H. Son propre style, très organique, dessine un proto-blues qui passe par la voix des autres -fabuleux Cheikh Lo et Bonga- et des samples récupérés chez Bo Diddley ou dans le répertoire roots d’Alan Lomax. Notamment des chants de prisonniers enregistrés dans le Mississippi en 1948: ceux-ci ouvrent les festivités du disque, et le définissent amplement. Faisant le trait entre la souffrance d’autrefois et la mémoire actuelle, décloisonnant les frontières afro-américaines en utilisant aussi le chant tzigane, Nicolas trace une voie originale et palpitante. On y revient dès que possible…

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