Critique | Musique

Föllakzoid – II

Julien Broquet
Julien Broquet Journaliste musique et télé

KRAUTROCK | Föllakzoid est originaire de Santiago du Chili et, germanophile, tape dans un krautrock qui plaira aux fans de Neu! et à tout ceux qui aiment se mettre la tête en l’envers avec des disques répétitifs et hallucinés.

FÖLLAKZOID, II, DISTRIBUÉ PAR SACRED BONES/KONKURRENT. ***

KRAUTROCK | Composé d’un réalisateur (Domingo vient de terminer son premier film: Partir to Live), d’un architecte, d’un photographe et d’un producteur de festival, Föllakzoid est originaire de Santiago du Chili et, germanophile, tape dans un krautrock qui plaira aux fans de Neu! et à tout ceux qui aiment se mettre la tête en l’envers avec des disques répétitifs et hallucinés. En cinq titres (Trees, 9, Rio, 99 et Pulsar) et trois quarts d’heure, les Sud-Américains armés d’une guitare, d’une batterie, d’une basse, de claviers, et d’une voix rare, perdue dans un tunnel de reverb, ouvrent nos oreilles sur l’apparemment bourgeonnante scène psychédélique chilienne.

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