Critique | Musique

Edward Sharpe and the Magnetic Zeros – Here

Julien Broquet
Julien Broquet Journaliste musique et télé

POP | Disque garanti hippie, pop et ensoleillé, rempli d’amour et autres bonnes vibrations sixties labellisé Edward Sharpe and the Magnetic Zeros.

EDWARD SHARPE AND THE MAGNETIC ZEROS, HERE, DISTRIBUÉ PAR ROUGH TRADE. ***
LE 05/07 AUX ARDENTES (LIÈGE).

POP | Après nous avoir fait danser au rythme des tubes dance punk d’Ima Robot, Alex Ebert nous avait surpris en 2009 avec Up From Below. Disque garanti hippie, pop et ensoleillé, rempli d’amour et autres bonnes vibrations sixties labellisé Edward Sharpe and the Magnetic Zeros. Le Californien et sa douzaine de musiciens repointent leurs guitares, leurs tambourins, leurs pieds nus et leurs longs poils dans un esprit très flower power. Blindé d’instruments (accordéon, marimba, didgeridoo, banjo, charango…), enregistré en Californie et en Louisiane, Here a quelques relents de Devendra Banhart (Dear Believer). Se la joue country pop gospel (That’s What’s Up). Et s’aventure dans les bayous (I Don’t Wanna Pray). Alors certes, il y a du « love » et du « god » partout. Une espèce de naïveté qui peut taper sur le système. En même temps, ça change des « fuck » et des « shit ». Ça te met un sourire un peu benêt sur le visage. Te donne le coeur léger. Et te purifie l’âme. Une bonne idée en période de crise et journées de grisaille. Hippie Hippie Hourra.

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