Dour 2012: le top 12

© Olivier Donnet
Kevin Dochain
Kevin Dochain Journaliste focusvif.be

S’il ne fallait retenir que 12 concerts des 4 jours à Dour, ce serait ceux-là…

Battles: Rock mathématique? Electro cérébrale? Punk 2.0? Un peu tout ça à la fois, oui. Meilleur moment des quatre jours du festival: Atlas, pardi. Sa mère.
Les photos

The Computers: L’énergie punk à l’état brut. Devant une petite centaine de courageux sous une pluie torrentielle, les Londoniens ont imploré tour à tour Jésus, Satan et Moïse pour ramener le soleil. « Le meilleur groupe rock sur le marché », nous chuchote-t-on.
Les photos

Sébastien Tellier: Grandiloquent et bouleversant. Ridicule et génial. Sébastien Tellier, dans toute sa splendeur.
Les photosLa review

La Femme: Elle est jeune, elle est belle, elle sent bon le sable chaud. Chante en français. Aime la pop synthétique des années 80 et le surf. La Femme idéale, quoi.
Les photosLa review

The War On Drugs: Un concentré de rock US aux accents dylanesques et aux vertus hautement lysergiques sorti tout droit du cerveau d’Adam Granduciel, le bien nommé. Et un final, hors du temps, carrément mystique.
Les photos

Franz Ferdinand: Machine à tubes à l’efficacité sans faille, la bande à Kapranos n’est pas du genre à faire dans la dentelle. Et tant pis s’il pleut comme vache qui pisse.
La review

The Inspector Cluzo: Les fils illégitimes de George Clinton et Pantera, venus de Gascogne et fiers de l’être. Un concert sauvage et sans aucun complexe.
Les photos

Fanfarlo: Dans le genre orfèvrerie pop-folk, avec violon et trompette, le plus beau concert du festival. Un peu comme si Alec Ounsworth de Clap Your Hands s’invitait chez Ra Ra Riot.

Baxter Dury: C’est qu’il a craqué un bouton à son slip, le fils de Ian. Et ajouté du coup à son flegme british la dose d’autodérision qui manquait cruellement à son dernier concert bruxellois.
Les photos

Bon Iver: Il a beau s’être vautré sur l’un ou l’autre morceau, Justin Vernon a livré quelques-uns des plus beaux moments de ce festival. Perth en tête.
Les photosLa review

Nick Waterhouse: De la blue-eyed-soul mâtinée de rhythm’n’blues par un blanc-bec de 25 ans au look de binoclard rétro-nerd façon Roy Orbison sixties. Un peu sage au début, le concert s’est emballé dans une seconde moitié d’enfer. Groovy baby!
Les photos

Great Mountain Fire: Une intro floydienne, un visuel digne des grands, et surtout un set ultra efficace et dansant: de futurs incontournables, pas de doute.
Les photos

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Partner Content