Critique | Musique

Dirty Projectors – Swing Lo Magellan

Julien Broquet
Julien Broquet Journaliste musique et télé

POP | Dave Longstreth et ses disques ne sont pas ce qu’il y a de plus facile à suivre dans la musique d’aujourd’hui. Le New-Yorkais a toujours eu l’esprit aussi tordu que ses chansons.

DIRTY PROJECTORS, SWING LO MAGELLAN, DISTRIBUÉ PAR DOMINO. ***

POP | Dave Longstreth et ses disques ne sont pas ce qu’il y a de plus facile à suivre dans la musique d’aujourd’hui. Le New-Yorkais a toujours eu l’esprit aussi tordu que ses chansons. Et dans un milieu de la pop qui se mord quand même méchamment la queue, c’est moins un défaut qu’une vertu. Pop gospel? Strange rock? Folk futuriste? Psychédélisme de salon? Dirty Projectors reste du genre inclassable mais Swing Lo Magellan, enregistré dans une grande maison construite par des trafiquants d’alcool à la fin du XVIIIe siècle, le rend plus abordable que jamais. Les pièces du puzzle s’imbriquent sans nous détourner des mélodies. Les voix sont claires, fluides et distinctes. Allumez les projecteurs.

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