Critique | Musique

Dirty Beaches: Drifters/Love is the Devil

Julien Broquet
Julien Broquet Journaliste musique et télé

Le précédent album du lascar, celui de la révélation, empruntait son titre, Badlands, à un film de Terrence Malick, évoquait fameusement Suicide et comprenait un sample du Voilà cher à Françoise Hardy (sur le génial Lord Knows Best).

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Le précédent album du lascar, celui de la révélation, empruntait son titre, Badlands, à un film de Terrence Malick, évoquait fameusement Suicide et comprenait un sample du Voilà cher à Françoise Hardy (sur le génial Lord Knows Best). L’univers du Montréalais né à Taiwan Alex Zhang Hungtai, alias Dirty Beaches, est ultra référencé. Sa nouvelle livraison, le double album Drifters/Love Is The Devil n’en est pas moins une oeuvre singulière, impressionniste, longtemps impénétrable, presque expérimentale. Enregistrés à Montréal et dans le studio d’Anton Newcombe (Brian Jonestown Massacre) à Berlin sur une période de six mois, ces seize titres baignent dans l’obscurité, le minimalisme et les atmosphères filmiques (de Lynch à Jarmusch). Tous à la plage…

DISTRIBUÉ PAR ZOO MUSIC/KONKURRENT.

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