Critique | Musique

David Guetta – Nothing But The Beat

POP | Guetta, c’est plus fort que toi. De la dance débitée en tranche, genre mortadelle en forme de Mickey pour le repas-tartine des gamins. Le plus intrigant reste l’impact que les tubes du Frenchy ont aux Etats-Unis.

POP | Guetta, c’est plus fort que toi. De la dance débitée en tranche, genre mortadelle en forme de Mickey pour le repas-tartine des gamins. Le plus intrigant reste l’impact que les tubes du Frenchy ont aux Etats-Unis. « Comment un producteur français a changé le son du top 40 », titrait notamment le Billboard l’an dernier, en couverture. En Europe, la recette est moins inédite. Sur Nothing But The Beat, elle tourne même carrément en rond, comme montée à la chaîne, jusqu’à l’indigestion. De l’eurodance de kermesse « crossoverisée » par une série -impressionnante- de cadors du r’n’b/hip hop: de Snoop à Nicki Minaj en passant par Usher ou Will.I.Am… Comme pour s’excuser. Sur un 2e CD instrumental, Guetta se rappelle ses origines, jusqu’à se rapprocher de saturations à la Daft Punk (The Alphabeat). Trop tard…

L.H.

DAVID GUETTA, NOTHING BUT THE BEAT, DISTRIBUÉ PAR EMI. *
EN DJ SET À LEGENDZ (LIÈGE), LE 30/09.

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