Concours Circuit: L’interview speed dating de Forest Bath

Sur scène, Joanna Lorho sera accompagnée par Corentin Dellicour au violoncelle. © Forest Bath
Elisabeth Debourse Journaliste

Sous le nom Forest Bath se cache une folk délicate qui se laissera bientôt découvrir sur scène, dans le cadre du Concours Circuit.

Joanna Lorho, l’instigatrice du projet musical Forest Bath, est la preuve que la lumière et l’ombre peuvent cohabiter, tout comme la candeur et la gravité, ou la légèreté et la solennité, dont est imprégnée sa voix veloutée mais puissante. Sur fond de notes martelées, sources de mélopées hypnotiques, se découvre un univers personnel, touchant et généreux, à découvrir le 19 septembre prochain dans le cadre du Concours Circuit, où elle sera par ailleurs accompagnée d’un violoncelliste.

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Dans quelle décennie aurais-tu aimé vivre?

Joanna Lorho: Plutôt dans les années ’60. Ça m’avait l’air plus… souriant.

Quelle est la chose la plus embarrassante qui te soit arrivé sur scène?

Un trou de mémoire!

Un souvenir de backstages à nous raconter?

Non, moi les backstages, je ne connais pas vraiment. Je joue souvent seule, donc j’aime me fondre dans la foule jusqu’au moment de monter sur scène.

Un « guilty pleasure » musical à nous confesser?

Il y a certains morceaux de Britney Spears que je trouve vraiment bien faits… Sinon, il y a aussi des vieux trucs, comme des chansons de Polnareff.

Dans quel film ou dans quelle série aurais-tu aimé jouer?

J’aurais bien aimé jouer dans Top of the Lake, une série assez récente. Tourner dans ce genre d’endroit, ça doit être plutôt sympa.

On te donne 1000 euros, là, tout de suite. Qu’est-ce que tu en fais?

J’irais acheter du matériel. Un petit instrument… C’est tout bête, mais je m’achèterais bien un petit xylophone qui sonne bien! Je commencerais par ça.

Enfant, quelle était ta plus grande peur?

Qu’on m’abandonne. J’ai souvent fait des cauchemars où ma mère m’oubliait quelque part. En fait, je crois qu’elle m’oubliait vraiment parfois, mais ce n’était jamais très grave! Ça a dû me marquer.

Tu te rappelles de ton tout premier achat musical?

Un CD de Noir Désir.

Et le dernier?

Le dernier vinyle que j’ai acheté, c’est celui de Lower Dens, un projet de Jana Hunter, qui est une chanteuse que j’aime beaucoup. Un gros coup de coeur.

Si ton tube était un plat, on mangerait quoi à tes concerts?

Je pense tout de suite à un plat de pâtes, avec des produits frais; des bonnes tomates, de la bonne huile d’olive et du basilic.

Si tu pouvais choisir une personnalité à mettre sur un billet de banque, on paierait en qui?

Je ne prendrais pas quelqu’un de sérieux, qu’on rigole un peu quand on reçoit les billets! Tiens, on va mettre Robin Williams.

Quel morceau te sort du lit les matins difficiles?

Un morceau de Steve Wonder, We Can Work It Out.

Influences: Anthony & the Johnsons, Joanna Newsom, Jana Hunter, Baby Dee.

Date: 19 septembre 2014.

Lieu: Maison des Jeunes de Chênée.

Autres participants: El Amor Prohibido, Noisy Pride et Loïc Joseph.

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