Cinq drôles d’histoires douroises

© Michi-Hiro Tamaï
Julien Broquet
Julien Broquet Journaliste musique et télé

Carjacking dans les backstages, lavage de mains et chocolat au cannabis… Plus Dour la vie.

Partie de Kart

Jamais un bon plan… Les zigotos du Villejuif Underground ont piqué, vendredi, l’une des petites voitures des équipes techniques et se sont offert une promenade dans les backstages. Pas de bol. Les Français ont croisé le directeur du festival qui les a pris en chasse. Une course poursuite moins proche de Bullitt que de Mario Kart.

Chocolat aux fines herbes

Fouiller un festivalier à Dour, c’est un peu comme ouvrir un Kinder Surprise. On ne sait jamais vraiment trop ce qu’on va y trouver. Saisie gastronomique du week-end: 150 grammes de chocolat au cannabis. Leonidas a du souci à se faire…

Plastic ocean

Le plastique n’est pas toujours fantastique. Allergie 2.0 ou caprice écolo? Un artiste, dont les organisateurs du festival préfèrent taire le nom, a fait retirer tout le plastique de sa loge. Jusqu’à se rendre compte qu’il n’avait plus de poubelle… Chienne de vie.

Lost in translation

Guère évident, parfois, de faire face aux us et coutumes locales. Le cri de ralliement du festival, ce fameux Doureuh! que le monde entier lui envie, n’est apparemment pas du goût de tous les artistes. Certains étaient mal à l’aise, d’autres se sont même un peu énervés. Ils avaient la désagréable impression de se faire huer. Dour pense dorénavant prévenir. Un groupe averti en vaut deux.

Relax

Il se passe toujours des choses bizarres à Dour jusqu’à dans l’accueil du festivalier. Des mecs qui viennent te mettre un parasol au-dessus de la tête et te suivent pendant un quart d’heure pour que tu ne prennes pas un coup de chaud. Ou d’autres, avec un évier portatif, qui proposent de te laver les mains. A cool cool world.

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