Critique | Musique

Beacon – The Ways We Separate

Philippe Cornet
Philippe Cornet Journaliste musique

AMBIENT | Thomas Mullarney a le même genre de voix que Green Gartside de Scritti Politti, ce qui ne vous dira pas grand-chose si vous avez zappé les années 80-90.

Beacon - The Ways We Separate

Disons un organe d’une douceur intense. Mullarney est la moitié de Beacon, duo de Brooklyn complété par Jacob Gossett dont c’est le premier album. Concentré, autour de 35 minutes, il est sectionné en dix plages d’une électronique funambule où tout semble désinfecté de bactéries extérieures pour un résultat amniotique chuchoté dans l’oreille recueillie de l’auditeur. Disque clinique mais envoûtant qui traite pourtant essentiellement de la séparation amoureuse et de ses reflux calamiteux. Pour amateurs d’hypnose.

BEACON, THE WAYS WE SEPARATE, DISTRIBUÉ PAR V2.

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