Critique

[Critique ciné] The Mercy, une reconstitution soignée et décorative de l’histoire de Crowhurst

Jean-François Pluijgers
Jean-François Pluijgers Journaliste cinéma

DRAME | The Mercy (Le Jour de mon retour), un film de James Marsh.

[Critique ciné] The Mercy, une reconstitution soignée et décorative de l'histoire de Crowhurst

En 1968, Donald Crowhurst (Colin Firth), un inventeur et navigateur amateur anglais, devait se lancer à bord d’un trimaran de sa confection dans la première course du monde en solitaire et sans escale, laissant derrière lui femme (Rachel Weisz) et enfants. L’aventurier du dimanche allait rapidement affronter des éléments auxquels il était mal préparé, sans autre possibilité que de poursuivre… L’incroyable histoire de Crowhurst avait déjà inspiré à Christian de Chalonge Les Quarantièmes rugissants, avec Jacques Perrin. James Marsh (The Theory of Everything) s’en tient lui à une reconstitution soignée et décorative, à laquelle manquent le souffle et la densité, encore que l’impeccable Rachel Weisz y apporte une émotion palpable…

De James Marsh. Avec Colin Firth, Rachel Weisz, David Thewlis. 1h41. Sortie: 07/03. ***

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