Noa Moon

« Azurite »

DISTRIBUÉ PAR PIAS.

7

Paru en 2013, le premier album de Noa Moon perpétue en format long son succès Paradise, sans vraiment y parvenir, peut-être pour cause de variété pop internationale à la Selah Sue déjà vue et entendue. Le second essai est-il plus personnel? En prenant davantage la mesure électropop -la bio cite entre autres James Blake-, la jeune Belge de 26 ans choisit une voie qui va plutôt bien à ses chansons, même si le duo de producteurs, Daniel Offerman (Girls In Hawaii) et Nicolas Quere, reste prudemment sur les rails. N’empêche, dans le feeling afro de Let It Shine, le dépouillement viscéral de Found Me ou le folk maraudeur de My City/Just a Song, l’intimité est là. Chantée à la première personne avec ses éventuels fantômes de l’âge adulte, incluant les pensées sombres et le reste.

LE 15/05 AUX NUITS BOTANIQUE, LE 24/05 AU REFLEKTOR ET LE 22/07 AUX FRANCOS.

PH.C.

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