Le cinéma chicano

14/06/2002

Jean-Marc Barbieux: « Je repense à un sujet, à Los Angeles, sur les cinéastes underground mexicains. On avait un journaliste là-bas à l’époque. Il ne voyait rien de spécial et je trouvais ça bizarre. Tu as l’industrie du ciné, la plus grosse communauté hispanique américaine… C’était pas possible. On a cherché et on a trouvé. C’est presque de la chimie appliquée. Quand un terrible bouleversement survient, tu sais qu’après il va se passer des choses. D’autres gens vont arriver. Tu peux du moins le supposer. »

David Combe: « Ne dis rien de plus, Jean-Marc! On ne va pas dévoiler nos secrets. En fait, on a juste un abonnement à Télérama et à Vice… (rires) »

Jean-Marc Barbieux: « On lit des trucs. On écoute les infos. On n’est pas là, comme la plupart des émissions culturelles, pour dire quel bouquin, disque ou film acheter. On est plutôt dans le décryptage. On veut créer des liens entre des choses qui a priori n’en ont pas. Expliquer par exemple que la musique naît dans un contexte socio-politique particulier. D’un tas de choses diverses. »

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