George Harrison

« All Things Must Pass »

1970, 2H04MIN

Lorsque débarque All Things Must Pass fin 1970, le split des Beatles, en avril de la même année, irrigue la nostalgie sixties. Il y a bien davantage dans ce premier triple studio du rock, nonobstant une compilation d’archives de Woody Guthrie en 1964 et la saga live de Woodstock. En pochette, sur la pelouse de sa propriété de Friar Park, un Harrison hippie-jardinier est bordé par des gnomes mais c’est gorgé de soul, de gospel et de country que s’alignent les classiques, If Not For You, Beware Of Darkness, Wah-Wah et My Sweet Lord. Pour un résultat inspiré au succès planétaire. Un an plus tard, Harrison noyaute une autre triplette, celle de The Concert For Bangladesh, dopant la mode des triples en public à laquelle se plieront bientôt Yes (1973), Emerson, Lake & Palmer (1974) et les Wings de Paul McCartney (1976).

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