Nazi, mystique, cocaïnomane et funk, c’est David Bowie en 1976!

Où Dahan croque Bowie, Claude Chabrol dézingua Séguela, vous êtes une ordure avec cette fille, et Lou Reed n’a rien contre Susan Boyle, finalement…

Le 27 septembre, sortira l’édition de luxe de Station to Station, album de David Bowie de 1976 marquant la transition entre ses années funky américaines et la fameuse trilogie berlinoise et glaciale de la fin des seventies. L’intérêt de la manoeuvre commerciale tient surtout au fait que le coffret contiendra un live très apprécié des fans et carrément formidable, qui n’a longtemps été disponible que sur bootleg, le célèbre Nassau Coliseum de Uniondale du 23 mars 1976. Dans le Libé du week-end, Eric Dahan racontait mieux que nous tout ce qu’il faut savoir sur ce disque, ce concert et la vie d’un Bowie à cette époque rendu fou par l’abus de cocaïne et l’angoisse métaphysique.

http://www.liberation.fr/culture/01012289467-david-bowie-lumiere-blanche-et-magie-noire

On laisse à nos collègues des pages cinéma le soin de rendre hommage à ce grand cinéaste qu’était Claude Chabrol, disparu ce dimanche. Au Weboscope, on déplore surtout la perte d’un élément exceptionnel dans la grande guerre contre la connerie ambiante et… tranquille.

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Pas mal et même pas mal malsain, le site vantant le dernier roman de Bret Easton Ellis. Sur le mode interactif des « livres dont vous êtes le héros », il vous y est loisible d’humilier totalement une actrice auditionnant pour un rôle dans The Listeners, film fictif ayant dans le livre une certaine importance. On peut aussi s’y montrer chic avec elle mais c’est évidemment beaucoup moins troublant. Pour info, notre résultat perso nous a défini comme « totalement mort à l’intérieur », 100% diabolique. Who’s bad?

http://www.thedevilinyou.com/

Démenti formel de Lou Reed en personne suite à la grosse rumeur de ces derniers jours voulant que le sinistre rockeur ait interdit la cession des droits de son Perfect Day à Susan Boyle, qui comptait en donner sa propre interprétation à la télévision américaine. Si le web a bruissé de ragots allant en ce sens et attribuant même à Lou Reed des propos très critiques à l’encontre de Boyle, cette dernière n’aurait en fait pas pu massacrer la belle ballade de l’album Transformer tout simplement suite à un problème de législation commerciale inhérente au marché américain et qui n’a pas pu être résolu avant son passage sur antenne. Ca semble un peu beaucoup politiquement correct et même carrément capillotracté comme justification, mais bon…

http://nymag.com/daily/entertainment/2010/09/lou_reed_scotches_susan_boyle.html?f=most-commented-vulture-7d5

Serge Coosemans

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