21 Jump Street au cinéma s’annonce trash, too much et drôle

Où L’Homme qui Tombe à Pic et 21 Jump Street passent au grand écran, John Landis sort un bouquin sur les films de monstres, et Fact pointe quels disques de Jeff Mills écouter.

Cascadeur à Hollywood, chasseur de primes, Colt Seavers, comme beaucoup d’Américains de la classe moyenne, enquille les jobs free-lance afin de pouvoir acheter des bikinis et des shorts en jeans à son amie blonde et aussi mettre plein d’essence dans sa grosse jeep. C’était à partir de 1981, l’Homme qui Tombe à Pic, une série télé bien connue de tous les garnements ayant grandi devant les dimanches télévisés de Jacques Martin. Sans Lee Majors, avec donc une nouvelle tête et sans doute plus de hip-hop que de country sur la BO, Colt Seavers va très bientôt revenir. Au cinéma. Avec le rebooteur de James Bond à la caméra. Et des scénaristes spécialisés dans les super-héros pour écrire le script. Pourquoi sait-on déjà que cela va être nul?

http://www.deadline.com/2011/10/martin-campbell-eyeing-the-fall-guy/

Réalisateur du Loup-Garou de Londres, des Blues Brothers et d’une poignée de films cultes des années 80, John Landis est également un grand spécialiste du film d’horreur et de série B. Une connaissance encyclopédique et passionnée qu’il n’hésite jamais à partager, y compris dans des livres. Monsters in the Movies est sa dernière brique du genre.

http://www.denofgeek.com/movies/1116058/john_landis_interview_monsters_in_the_movies_genre_cinema_political_zombies_aliens_and_more.html

Pas toujours facile de s’y retrouver dans la pléthorique production de Jeff Mills, gourou techno par excellence. Fact s’y essaye en pointant les disques considérés comme essentiels, une bonne base. Après, à vous de voir si cela vaut la peine de débattre: vous avez oublié celui-là, ils se ressemblent tous, c’est un énorme DJ mais pas un bon musicien, blablabla…

http://www.factmag.com/2011/11/04/the-essential-jeff-mills/

Avec Jonah Hill au casting, il fallait se douter que l’adaptation ciné de 21 Jump Street serait quelque peu décalée de son modèle plutôt sérieux, moraliste et bien réac des années 80. Foutage de poire intégral, le film lâche ses premières bandes annonces, bien dans la lignée trash et too much de Get Him to The Greek et autres Superbad.

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Serge Coosemans

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