Critique

The Devil’s Double

HISTORICO-TRASH | L’histoire du fils de Saddam Hussein, racontée très librement par Lee Tamahori (Die Another Day) dans un film extrême et foldingue, quelque part entre Scarface version De Palma et le cinéma de « sexploitation » façon seventies.

HISTORICO-TRASH | Il était une fois Oudai Hussein, fils aîné de Saddam et jouisseur impénitent, dépourvu de scrupule comme de morale, capable d’accaparer tout ce qu’il peut convoiter, et d’éliminer tout obstacle entre son désir et sa réalisation. Il était une fois, aussi, un militaire assez ressemblant pour donner à Oudai l’idée de le prendre pour « fiday », double exposé au danger à sa place… mais aussi amené à se frotter aux conquêtes matérielles, et féminines, de son patron. Une histoire vraie, racontée très librement par Lee Tamahori (Die Another Day) dans un film extrême et foldingue, quelque part entre Scarface version De Palma et le cinéma de « sexploitation » façon seventies. Peu de point de vue, et quelques dérives révisionnistes, mais du délire plein les dents, et une plongée effrayante dans l’abîme du pouvoir absolu. Avec un Dominic Cooper stupéfiant dans les 2 rôles d’Oudai le maléfique et de son double tellement humain.

L.D.

THE DEVIL’S DOUBLE, FILM HISTORICO-TRASH DE LEE TAMAHORI. AVEC DOMINIC COOPER, LUDIVINE SAGNIER, RAAD RAWI. 1 H 48. SORTIE: 21/09. **

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