Critique

Sanctum

© DR

AVENTURES | Une équipe d’explorateurs part à la découverte de grottes inconnues, lorsqu’un cyclone se déclenche à l’extérieur, provoquant une inondation. Seule solution: chercher la sortie vers le Pacifique. Une histoire banale, à laquelle on assiste avec ennui, produite par un James Cameron, qui n’y laisse que son nom.

Le nom de James Cameron, producteur exécutif de ce thriller mâtiné de spéléologie, est bien en vue sur l’affiche. Mais il serait vain de chercher quelque trace de son talent créatif dans un spectacle sans âme, dont on se demande encore la justification bien après qu’il se soit achevé… Comment se passionner, en effet, pour ce long et laborieux suspense souterrain, qui voit une petite équipe d’explorateurs plonger dans l’eau glacée d’un gouffre vertigineux. Ils cherchent la sortie sur le Pacifique de l’enchaînement de grottes où ils s’aventurent. Ils trouveront le danger, la souffrance et la mort…

Pimenté de lourdes considérations sur les rapports père-fils, le film n’en finit pas de finir. Et la 3D s’avère bien inutile à causer quelque frisson. Joué de très médiocre façon, ceci aurait pu s’appeler « Pensum » au lieu de Sanctum

Sanctum, film d’aventures d’Alistair Grierson, avec Richard Roxburgh, Rhys Wakefield, Alice Parkinson. 1h45.

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L.D.

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