Critique

L’hypnotiseur

L'hypnotiseur © DR
Nicolas Clément
Nicolas Clément Journaliste cinéma

THRILLER | Deuxième film en moins d’un mois à trouver le chemin de nos salles obscures pour le réalisateur de My Life as a Dog, Gilbert Grape et autre Chocolat.

Après l’américain, et accessoirement calamiteux, Safe Haven, place à cette production suédoise, d’après le roman de Lars Kepler, où le massacre sauvage d’une famille de la banlieue de Stockholm amène un inspecteur et un hypnotiseur à faire équipe pour explorer le subconscient du seul témoin du carnage… Lasse Hallström n’est certes pas David Fincher, et arrose d’un inutile sirop sentimental -l’occasion pour le cinéaste de filmer amoureusement son épouse Lena Olin- une intrigue policière relativement efficace, même si pas originale pour un sou. Dans un film affichant par ailleurs un profil anti-glam bienvenu: gueules fatiguées, éclairage au vilain néon, froid polaire de l’hiver suédois…

Thriller de Lasse Hallström. Avec Tobias Zilliacus, Mikael Persbrandt, Lena Olin. 2h02. Sortie: 08/05.

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