Critique

Kirikou et les hommes et les femmes

Kirikou © DR
Louis Danvers
Louis Danvers Journaliste cinéma

ANIMATION | Troisième épisode des aventures du petit Africain débrouillard et intrépide, le nouveau film de Michel Ocelot joue la simplicité au point d’atteindre l’épure.

Film d’animation de Michel Ocelot. Avec les voix de Romann Berrux, Awa Sène Sarr. 1h28. Sortie: 24/10. ****

ANIMATION | Troisième épisode des aventures du petit Africain débrouillard et intrépide, le nouveau film de Michel Ocelot (lire le dossier dans le Focus Vif du 26 octobre) joue la simplicité au point d’atteindre l’épure. Il offre une lumineuse limpidité, une tranquille évidence, dans le récit de quelques nouveaux exploits de Kirikou au temps où Karaba la sorcière faisait encore planer ses maléfices sur son village privé d’hommes. En filigrane de ces petites histoires amusantes, touchantes, marquées du sceau d’une créativité mature, le réalisateur français nous offre une défense et illustration de la transmission sous différentes formes (orale, musicale, dessinée dans le plus beau conte de l’ensemble, celui mettant en scène un jeune Touareg égaré, dont la couleur bleue fait craindre aux villageois d’avoir à affronter un monstre…). Un spectacle superbe et fluide, dont le public dépassera largement les seuls enfants.

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