Critique

Gabrielle

Jean-François Pluijgers
Jean-François Pluijgers Journaliste cinéma

DRAME | Ils s’appellent Gabrielle et Martin, évoluent dans une même chorale, et sont dingues amoureux l’un de l’autre.

Gabrielle
Gabrielle© DR

Une histoire banale, si les deux jeunes gens n’étaient déficients mentaux légers, et que leur entourage ne s’opposait à leur relation naissante. Autour d’un sujet délicat -la sexualité des handicapés, mais aussi les préjugés dont ils sont l’objet-, la réalisatrice québécoise Louise Archambault signe un film assurément sensible, qu’habite intensément Gabrielle Marion-Rivard. Mais si la note est souvent juste, Gabrielle souffre aussi d’un cheminement balisé de trop de bons sentiments -jusqu’au prévisible spectacle final rameutant Robert Charlebois pour une apothéose (en)chantée particulièrement indigeste pour le coup.

  • Drame de Louise Archambault. Avec Gabrielle Marion-Rivard, Alexandre Landry, Marie Gignac. 1h44. Sortie: 23/10.
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