Critique

[Critique ciné] Tulip Fever, d’un classicisme consommé

Jean-François Pluijgers
Jean-François Pluijgers Journaliste cinéma

DRAME HISTORIQUE | La prestation fiévreuse d’Alicia Vikander ne suffit pas à compenser un scénario manquant cruellement de liant.

[Critique ciné] Tulip Fever, d'un classicisme consommé

Amsterdam, au XVIIe siècle. Prisonnière d’un mariage arrangé avec un riche négociant en épices (Christopher Waltz) à qui elle ne peut donner d’héritier, une jeune orpheline (Alicia Vikander) tombe amoureuse du peintre (Dane DeHaan) venu exécuter leur portrait. Et les deux amants d’envisager une fuite prochaine, le commerce en plein essor de bulbes de tulipes devant leur procurer les fonds nécessaires. Inspiré du roman Le Peintre des vanités de Deborah Moggach, Tulip Fever a connu une histoire tumultueuse, le projet allant de report en report depuis 2004. D’un classicisme consommé, la version qui arrive finalement sur les écrans n’est que modérément convaincante; la faute à un scénario manquant cruellement de liant, travers que ne suffit pas à compenser la prestation fiévreuse d’Alicia Vikander.

De Justin Chadwick. Avec Alicia Vikander, Dane DeHaan, Christopher Waltz. 1h45. Sortie: 30/08. **(*)

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