Critique

[Critique ciné] The Dark Tower, honnête mais sans éclat

Nicolas Clément
Nicolas Clément Journaliste cinéma

FANTASY/AVENTURE | Moins calamiteuse qu’annoncée, une adaptation super light de Stephen King.

[Critique ciné] The Dark Tower, honnête mais sans éclat

Censée se décliner en franchise ciné et en série télé, cette Tour sombre se relèvera-t-elle de l’étrillage en règle dont elle a fait l’objet dans la presse anglo-saxonne? Rien n’est moins sûr. Pas de quoi hurler au scandale, pourtant, devant cette adaptation -considérablement allégée- de Stephen King qui rejoue l’éternel combat du bien contre le mal. Certes le film, souvent naïf, maladroit, parfois ridiculement solennel, est mis en scène sans éclat par le Danois Nikolaj Arcel (A Royal Affair). Certes Matthew McConaughey, en roue libre, en fait objectivement des caisses en suppôt du chaos. Mais on a connu Hollywood autrement plus sagouine en matière de fantasy blockbusterisante récente (Warcraft, quelqu’un?). Un honnête placebo à destination d’un public jeune ado ayant grandi avec Harry Potter.

De Nikolaj Arcel. Avec Idris Elba, Matthew McConaughey, Tom Taylor. 1h35. Sortie: 16/08. **(*)

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