Critique

Critique ciné: Shirley: Visions of Reality, un voyage dans les tableaux d’Edward Hopper

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Louis Danvers
Louis Danvers Journaliste cinéma

ESSAI ARTISTIQUE | L’oeuvre unique et admirable, si familière et en même temps si étrange, du peintre Edward Hopper s’est nourrie du cinéma et a influencé en retour des maîtres de l’écran comme Alfred Hitchcock et Wim Wenders.

Elle fait l’objet d’une tentative de rendre « vivants » certains tableaux (treize en l’espèce), avec présence d’acteurs et de voix « off ». L’essai est par endroits fascinant, un des éléments poétiques de la peinture de Hopper étant justement l’interrogation qu’il pose de l’instant précédant ou suivant son « arrêt sur image ». Mais le dispositif visuel du film est trop souvent bancal, les recadrages sont peu justifiés, et naît çà et là un ennui bien tristounet.

DE GUSTAV DEUTSCH. AVEC STEPHANIE CUMMING, CHRISTOPH BACH, FLORENTIN GROLL. 1 H 33. SORTIE: 22/10.

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