Critique

[Critique ciné] London Has Fallen, pompe à testostérone

London Has Fallen, de Babak Najafi © DR
Louis Danvers
Louis Danvers Journaliste cinéma

ACTION | Rien d’inattendu, même si les scènes de destruction restent spectaculaires.

La pompe à testostérone coule à fond dans cette suite à Olympus Has Fallen, réalisé en 2013 par un Antoine Fuqua qui a préféré cette fois s’abstenir, jugeant le scénario faiblard. On ne lui donnera pas tort, l’action se résumant à une attaque terroriste massive sur Londres, et au (nouveau) sauvetage du président des Etats-Unis, venu là pour les funérailles du premier ministre britannique. Le sauveur est bien sûr Mike Banning, joué par Gerard « macho » Butler et à qui rien ne résiste. Les méchants sont basanés, le patriotisme au zénith, et la crédibilité sous le minimum syndical. Bref, rien d’inattendu, même si les scènes de destruction restent spectaculaires.

De Babak Najafi. Avec Gerard Butler, Aaron Eckhart, Morgan Freeman. 1h39. Sortie: 02/03.

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