Critique

[Critique ciné] Le Petit locataire, hommage très condescendant aux mères

Nicolas Clément
Nicolas Clément Journaliste cinéma

COMÉDIE | Pour son premier long métrage, Nadège Loiseau « gonfle » son court de 2012, Le Locataire, qui devient Petit pour l’occasion.

[Critique ciné] Le Petit locataire, hommage très condescendant aux mères

Son héroïne, déjà grand-mère, n’a plus 54 ans mais 49 quand elle tombe inopinément enceinte à l’approche de la ménopause. Un peu de comédie, un peu de drame, un peu de fantaisie, un peu de charme… Loiseau fait au fond du cinéma comme on ferait de la pâtisserie: en dosant bien tous les ingrédients. L’idée est de rire de la trivialité beauf (des ébats conjugaux façon « En plus j’ai un début de gastro… » ou bien « C’est des seins, pas de la pâte à modeler quand même…« ) en mâtinant la moquerie de tendresse même si, au final, cet hommage au courage ordinaire des mères apparaît surtout très condescendant.

DE NADÈGE LOISEAU. AVEC KARIN VIARD, PHILIPPE REBBOT, HÉLÈNE VINCENT. 1H39. SORTIE: 23/11. **

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