Critique

[Critique ciné] La Surface de réparation, très attachant portrait de loser

Louis Danvers
Louis Danvers Journaliste cinéma

DRAME | Le premier long métrage de Christophe Regin expose avec justesse un certain versant de l’univers du sport roi.

[Critique ciné] La Surface de réparation, très attachant portrait de loser

Il a pu rêver de gloire, de buts et de trophées, mais Franck n’a pas réussi dans le foot. Incapable de se détacher de sa passion, il est devenu l’homme à tout faire de la direction de son club, le FC Nantes. Son job? Gérer de jeunes joueurs immatures, pister les pros qui font trop la fête, les récupérer en boîte de nuit ou masquer leurs écarts sexuels. Un jour, une fille surgit dans sa vie. Salomé multiplie les liaisons avec des joueurs connus, façon groupie. Mais Franck tombe amoureux… Le premier long métrage de Christophe Regin expose avec justesse un certain versant de l’univers du sport roi. Il trace aussi un très attachant portrait de loser et offre à Franck Gastambide un contre-emploi majuscule.

De Christophe Regin. Avec Franck Gastambide, Alice Isaaz, Hippolyte Girardot. 1 h 34. Sortie: 24/01. ***(*)

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