Critique

Critique ciné: L’Homme qu’on aimait trop, manque d’intensité

Louis Danvers
Louis Danvers Journaliste cinéma

DRAME | Le fait divers avait défrayé la chronique.

André Téchiné revisite aujourd’hui l’affaire Agnès Le Roux, du nom de la jeune héritière (Adèle Haenel) poussée par un séducteur cynique (Guillaume Canet) à trahir sa mère propriétaire d’un casino niçois (Catherine Deneuve), sur fond de magouilles et de banditisme corse. Même bien joué, et malgré quelques séquences prenantes, L’Homme qu’on aimait trop manque de souffle et d’intensité. Le lieu du crime s’y dérobe au regard déçu.

  • DRAME D’ANDRÉ TÉCHINÉ. AVEC GUILLAUME CANET, CATHERINE DENEUVE, ADÈLE HAENEL. 1 H 56. SORTIE: 23/07.
L’affichage de ce contenu a été bloqué pour respecter vos choix en matière de cookies. Cliquez ici pour régler vos préférences en matière de cookies et afficher le contenu.
Vous pouvez modifier vos choix à tout moment en cliquant sur « Paramètres des cookies » en bas du site.

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Partner Content