Critique

Critique ciné: Je suis à toi, tantôt saisissant, tantôt indigeste

Je suis à toi © DR
Louis Danvers
Louis Danvers Journaliste cinéma

DRAME | David Lambert reprend le thème gay et multiculturel de son premier film, Hors les murs, en l’inscrivant dans l’histoire d’un boulanger et du jeune Brésilien qu’il invite à venir vivre chez lui.

David Lambert s’était révélé avec Hors les murs, évocation prenante d’un coup de foudre entre deux musiciens, dont l’un venait d’Albanie. Le réalisateur belge reprend dans Je suis à toi le thème gay et multiculturel de son premier film, en l’inscrivant dans l’histoire d’un boulanger wallon d’âge mûr et du jeune Brésilien qu’il invite à venir vivre chez lui, après qu’ils aient noué une relation via Internet. Les rapports des deux hommes, compliqués par la présence d’une employée auquel le plus jeune n’est pas indifférent, oscille entre crise et tendresse, désir inégal et incompréhension, avec des résonances sociales et une crudité qui font un mélange tantôt saisissant, tantôt indigeste par son insistance.

  • DE DAVID LAMBERT. AVEC JEAN-MICHEL BALTHAZAR, MONIA CHOKRI, NAHUEL PÉREZ BISCAYART. 1H29. SORTIE: 26/11.
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