Critique

[Critique ciné] Hampstead, d’un ennui mortel

Jean-François Pluijgers
Jean-François Pluijgers Journaliste cinéma

COMÉDIE ROMANTIQUE | Emily Walters (Diane Keaton) semble courir après le sens de sa vie depuis la disparition de Charles, son mari.

[Critique ciné] Hampstead, d'un ennui mortel

Installée dans un immeuble huppé de Hampstead, dans les faubourgs de Londres, Emily Walters (Diane Keaton) semble courir après le sens de sa vie depuis la disparition de Charles, son mari. Alors que l’assemblée des copropriétaires se mobilise pour la démolition d’un hôpital désaffecté afin de laisser la place à une résidence de luxe, elle découvre qu’un excentrique, Donald Horner (Brendan Gleeson), a élu domicile dans une cabane dans le parc attenant. Pas besoin d’avoir fait hypokhâgne pour deviner la suite, qui se révèle d’un ennui mortel en dépit des efforts de Joel Hopkins pour l’épicer de rebondissements tous prévisibles, le film passant à côté de ses enjeux, n’étaient ceux sous-tendant une comédie romantique mollassonne…

De Joel Hopkins. Avec Diane Keaton, Brendan Gleeson, Lesley Manville. 1h43. Sortie : 20/09. *

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