Critique

[Critique ciné] Evolution, entre innocence et cruauté

Evolution, de Lucile Hadzihalilovic © DR
Louis Danvers
Louis Danvers Journaliste cinéma

FANTASTIQUE | Lucile Hadzihalilovic (La Bouche de Jean-Pierre, Innocence) signe un hybride de film d’apprentissage et de slow horror.

Un village avec un hôpital en surplomb de l’océan, une population composée intégralement de femmes et de jeunes garçons. Nicolas s’interroge sur ce que fait sa mère quand elle rejoint les autres femmes, la nuit, sur la plage. De mystères en révélations puis en autres mystères, ses découvertes le mèneront au coeur de l’étrange et de l’inquiétant… Lucile Hadzihalilovic (La Bouche de Jean-Pierre, Innocence) signe un hybride de film d’apprentissage et de slow horror, dans un style poétique admirablement maîtrisé. Entre innocence et cruauté, une oeuvre qui garde ses secrets tout en offrant sensations, émotions et malaise.

DE LUCILE HADZIHALILOVIC. AVEC MAX BREBANT, JULIE-MARIE PARMENTIER, ROXANE DURAN. 1H21. SORTIE: 16/03.

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