Critique

[Critique ciné] Der Hauptmann (L’Usurpateur), un spectacle intrigant et ambigu

Louis Danvers
Louis Danvers Journaliste cinéma

FILM DE GUERRE | Le réalisateur allemand de Red et de deux épisodes de la saga Divergent revient au pays pour un film aux accents satiriques et grotesques.

[Critique ciné] Der Hauptmann (L'Usurpateur), un spectacle intrigant et ambigu

L’Allemagne en 1945. Le crépuscule du nazisme et la défaite imminente de la Wehrmacht s’accompagnent de désertions mais aussi d’exactions commises par des militaires devenus incontrôlables. Dans ce contexte de sanglant chaos, un jeune déserteur se fait passer pour un capitaine et entraîne une poignée d’hommes dans une « mission spéciale »… Robert Schwentke, réalisateur allemand de Red et de deux épisodes de la saga Divergent à Hollywood, revient au pays pour un film de guerre aux accents satiriques et grotesques, dominé par l’interprétation fiévreuse de Max Hubacher. Une fiction inspirée par des faits réels, pour un spectacle intrigant et ambigu.

De Robert Schwentke. Avec Max Hubacher, Milan Peschel, Frederick Lau. 1h59. Sortie: 21/03. ***

L’affichage de ce contenu a été bloqué pour respecter vos choix en matière de cookies. Cliquez ici pour régler vos préférences en matière de cookies et afficher le contenu.
Vous pouvez modifier vos choix à tout moment en cliquant sur « Paramètres des cookies » en bas du site.

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Partner Content