Critique

[Critique ciné] Boli Bana

Jean-François Pluijgers
Jean-François Pluijgers Journaliste cinéma

DOCUMENTAIRE | Tourné au Burkina Faso, un documentaire ethnographique qui s’intéresse aux rituels de passage de l’enfance à l’adolescence.

[Critique ciné] Boli Bana

Tourné dans la région des cascades, au Burkina Faso, Boli Bana, du cinéaste belge Simon Coulibaly Gillard, s’immerge dans la tradition peulhe, peuple nomade et sans frontières disséminé dans le grand ouest africain. Articulé en deux parties en miroir, ce documentaire ethnographique s’intéresse plus particulièrement aux rituels de passage de l’enfance à l’adolescence à travers le destin d’Ama, un garçon vacher battant la brousse avec son troupeau, et Aissita, une fille du village de Boli Bana, l’un et l’autre sur le point d’accéder à l’âge adulte. Cristallisé autour de ce moment charnière, le film s’inscrit aussi dans un horizon plus vaste, instruisant notamment un rapport organique au monde et touchant là à quelque chose d’immémoriel que soulignent diverses échappées poétiques…

De Simon Coulibaly Gillard. 1h. Sortie: 13/06. ***(*)

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