Critique

Critique ciné: Bodybuilder, peinture de milieu sympathique

Vincent Rottiers dans Bodybuilder © DR
Louis Danvers
Louis Danvers Journaliste cinéma

DRAME | Emmené par l’intense Vincent Rottiers, le film de Roschdy Zem allie empathie pour ses personnages à la marge et peinture de milieu sympathique.

Antoine tourne mal. Le jeune homme en rupture sociale, endetté vis-à-vis de voyous qui le menacent dangereusement, est envoyé par sa mère et conduit par son grand frère chez un père parti depuis longtemps, et qui habite une autre ville. Un père culturiste, qui tient une salle de bodybuilding et prépare un important concours… Emmené par l’intense Vincent Rottiers (la « fureur de vivre » à lui tout seul) et l’authentique champion qu’est Yolin François Gauvin, le film de Roschdy Zem allie empathie pour ses personnages à la marge et peinture de milieu sympathique. Dommage qu’il soit si pesant dans sa dramaturgie, et si peu inspiré dans sa forme.

  • DE ROSCHDY ZEM. AVEC VINCENT ROTTIERS, YOLIN FRANCOIS GAUVIN, MARINA FOIS. 1H44. SORTIE: 01/10.
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